Vous qui lisez ces lignes n’espérez pas y trouver de l'espoirs nous somme dans un futur où les rêves des hommes ont causés leurs pertes un temps où l'amertumes de certains ont consumer des systèmes entiers où les idéaux de vertus sont pervertis au delà du possible. L'humanité survit tentant de préserver les lambeaux de son empire des hérétiques des xenos et des démons. Ce monde n'est pas propice a la paix ni a l'espoirs . Dans les ténèbres d'un lointain future il n'y à que la guerre....
La cellule du frère Carmine était sombre a peine éclairée par quelques lumiglobes qui dégageaient une lumière blafarde et projetant des ombres inquiétantes dans le recoins de la pièce. A coté d'un lit de camp spartiate se trouvait un petit autel ou brûlaient quelques baronnets d'encens ,leurs odeurs masquant a peine l'odeur métallique de la cellule. A l'opposé du lit se trouvait un râtelier qui supportait l'imposante armure a la couleur de métal nu. Elle était imposante, l'homme qui la revêtait mesurait plus de deux mètre avec et se retrouvait proche d'un char humain, sa simple présence emplissait la pièce d'une présence mystérieuse.
Carmine se leva, sa carrure était impressionnante d'une taille de deux mètre cinquante une largeur d'épaule imposante, son corps était constellé de cicatrices , de vieille blessures qui attestait de ses prouesses au combat. Son visage était strict ses cheveux châtain coupé court lui donnait une contenance inattendue, deux clous argentés venait se placer au dessus de son sourcil droit attestant de ses cent années de service pour l'Empereur-Dieu et la race des hommes. Ses yeux gris restaient des brasiers ou la détermination brûlait encore malgré le temps et les épreuves subies. Son corps ne révélait aucune graisse, tel un dieu des anciens mythes terriens. Grands, fort, et a l'apparence parfaite. Et c'était tels qui l'apparaissait pour les siens, un dieu parmi les hommes
"-Non je ne suis plus un homme, j'ai abandonné cette parcelle d'humanité pour défendre les enfants de Terra"
Cette remarque il l'avait eu souvent depuis sa transformation, il y a fort longtemps lorsqu’il n'était encore qu'un enfant l'inquisition l'avait enlevé et transformé en un être infiniment supérieur, ne connaissant pas la peur et crée pour la guerre. Il était aujourd'hui un astarte "Forger dans le sang et formé par les combats" tel était la légende qui entourait les guerriers surhumain qu'était les spaces marines
Il se leva et se regarda dans le miroir, selon les standard humain, beaucoup ne lui auraient pas donné plus de dix huit ans, et pourtant sous cet aspect encore jeune il avait plus de cent ans, il ne vieillissait pas, seul une mort violente sur un champs de bataille l'attendait mais sur ce point il le savait la faucheuse l'attendait.
Son armure était resplendissante la même détermination brillait dans les optiques du casque, rares étaient les moment où il ne la portait pas, a force elle fesait autant partie de lui que ses bras ou ses jambes, un aigle bicéphale hurlant resplendissait sur le plastron et l'insigne de son chapitre ornait l'épaulière de gauche un crane de fer casqué, l'insigne des guerriers de fer, il adressa une rapide prière à l'esprit de son armure et décrocha avec précaution les premières pièces, il ne portait alors que sa carapace noir une interface qui lui permettait de ne faire qu'un avec elle des prises synaptiques le reliant à l'esprit de l'armure. Pièce par pièce il l’enfila jusqu'à son activation, le générateur dorsale se mit en route et il sentit la force l'envahir alors que sa cuirasse reprenait vie. Enfin il prit son casque et le mit, le claquement des joint indiqua que l'armure était scellée hermétiquement. Une myriade d'information se déversa en lui, son rythme cardiaque sa pression sanguine, ses ondes cérébrales. Sa coiffe psychique se mit enfin en place, permettant de limiter son exposition au warp. L'air recyclé emplit ses narines, habitué il savoura cet air qui était pour lui ce qui se rapprochait plus de celui d'un foyer. Une fumée blanche sortait de sa grille d'aération au rythme de sa respiration lui donnant l'apparence d'un démon.
Ses armes l'attendait huilées et prêtes à l'emplois, il fixa son fulgurant sur son poignet, une énorme arme qui tirait un projectile de la taille d'un poing à une cadence infernale.
Le frère de bataille fixa sa lame à son armure et dans un moment solennel la sortie de son fourreau
"Justice" dit il avec un sourire "le moment est venu, nos services sont requis"
Alors que celle-ci brillait dans la pénombre, éclairant toute la pièce une sirène retentit à l'intérieur de la cellule
"Allons rejoindre nos frères !" dit il avant de s'élancer par la porte.....
Le couloir résonnait du bruit des préparatifs au combats seuls les alcôves était silencieuses, leurs serviteurs décérébrés, mi-homme mi-machine effectuant leurs tache dans le silence le plus complet, le vaisseau résonnait du bruit des manœuvres, d'antiques haut parleurs en laiton criait des ordres ou des hymnes monocordes. L'équipage courait dans le couloir, des hommes et des femmes vaquaient à leurs occupations mais le laissaient passer avec beaucoup de révérence, peut d'entre eux avaient déjà vu un membre de l'adeptus astarte.
Un cyber-crane le frôla, ce crane évidé était d'un blanc osseux, seul un implant rouge lui donnait un semblant de vie, un petit générateur antigrav lui permettait de flotter dans les airs lui donnant un air macabre. Après une dizaine de minutes de marche il arriva sur la passerelle du vaisseau.
Grouillante d'activité, il s'agissait du centre nerveux du transport, des humains couraient partout, d'autre se penchaient au dessus de pupitre émetant une lumière verte blafarde, dans le fond de la salle, surélevée par rapport au reste se trouvait le strategium du vaisseau, un capitaine humain était en pleine conversation avec deux astartes et malgré la présence écrasante de ces deux géants, il ne semblait nullement intimidé par les deux géants à ses côtés.
Le voyant s'approcher l'un deux se retourna avec un sourire sur les lèvres
-Voilà donc notre Maître de forge, encore en retards a ce que je vois
-Un astarte n'est jamais en retard, il arrive précisément à l'heure demandée frère Autolochus
Autolochus était l'un des sergent du groupe de combat, d'un naturel joyeux et chaleureux ce qui contrastait avec les gênes qu'ils avaient reçus, le chapitre était d'un naturel austère, froid et calculateur, al'image du primarque déchu. Même pour un demi-dieu c'était un géant il dépassait les trois mètres, en comparaison le maître de forge était un nain même selon les standards de l'adeptus.
Le visage du sergent était parsemé de cicatrice attestant de ses années de service, un tatouage de l'aquilla se tenait fièrement sur son front.
"-Frères" dit le dernier d'entre eux "Il n'est plus temps pour ces chamaillerie nous allons bientôt sortir du warp, la planète à due être avertie de notre arrivée car les défenses orbitales sont déjà activées. Le vaisseau devra se frayer un chemin à travers elle pour pouvoir nous larguer sur l'objectif"
Alors même qu'il parlait une sensation de malaise atteignit le maître de forge il eut l'impression que ses organes étaient arrachés de son corps puis remit en place, visiblement tout le monde ressentit cette impression puis il y eut un retours à la normale
"Sortie du warp effectuée" annonça une voie monocorde
L'écran blindé de la passerelle se souleva laissant encore apercevoir des éclairs qui s’accrochaient a la carlingue. En les regardant de plus près on y voyait des visages damnés semblant hurler sans bruits, un kaléidoscope de couleurs qui n'auraient pas dû exister était visible promettant folie et mutation a quiconque fixerait trop longtemps cette apparition.
Le champ de gellar se désactiva et emporta avec lui toute trace du warp.
-Ainsi donc voila Olympia, le monde déchut et mort, comment des traîtres ont ils pu croire que nous les laisserions contrôler ce monde ?
-Les voies du chaos sont impénétrables et les tenter de les comprendre serait de l’hérésie dit une voie dans la pénombre
Les trois astartes se tournèrent vers la silhouette qui sortait de l'ombre et posèrent un genou a terre en signe de respect
-Inquisiteur....
"-N'oubliez pas que nous ne somme que les chiens de l'inquisition" la voie du capitaine était grave, et résonnait dans la pièce. "Nos gènes sont corrompus, nous devons porter le péché de nos frère déchus il y a dix mille ans, peut importe la tache nous relèverons la tête et nous nous montrerons digne de l'Empereur dieu"
Un bien beau discours pensa le maître de forge cependant il n'était pas dupe ils n'étaient rien de plus que les tueurs que l'inquisition envoyait quand tout semblait perdu et cependant ils continueraient à combattre car tel était leur voie
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Sam 3 Aoû - 1:27
